Actualités
Saint-Léon-de-Standon, le 28 janvier 2011 – Il faut tout arrêter sans attendre. Voilà le constat qui s’impose de lui-même à la lumière des informations rendues publiques au sujet des fuites de gaz observées un peu partout et pour lesquelles des avis d’infraction ont été émis. Les craintes maintes fois partagées par l’AQLPA sont, maintenant hors de tout doute, avérées. Il faut tout arrêter.
Saint-Léon-de-Standon, le 21 janvier 2011 – C’est avec joie que l’AQLPA accueille les propos du ministre Pierre Arcand au sujet d’un éventuel moratoire sur les gaz de schiste. Ce changement de ton est des plus rafraîchissant et est définitivement, enfin, un pas dans la bonne direction.
Saint-Léon-de-Standon, le 14 janvier 2011 – C’est avec consternation mais sans surprise que l’AQLPA a pris connaissance du rapport préliminaire rendu public aujourd’hui par l’Institut national de santé publique. Intitulé État des connaissances sur la relation entre les activités liées au gaz de schiste et la santé publique, le document dresse un portrait inquiétant des impacts sur la santé qu’a, et qu’aura, l’industrie des gaz de schiste tant dans la phase d’exploration que dans la phase d’exploitation.
Cancun, 7 décembre 2010 – L’Association québécoise de lutte contre la pollution atmosphérique (AQLPA) souligne le Prix international de leadership en changements climatiques de l’Australie du Sud reçu aujourd’hui par le premier ministre du Québec Jean Charest. Pour André Bélisle, président de l’AQLPA, «ce prix reflète l’engagement sans équivoque de la société civile québécoise envers la lutte aux changements climatiques.
Longueuil, le 17 novembre 2010 – L’AQLPA et Stratégies Énergétiques (S.É.) présentent aujourd’hui leur mémoire. Dans ce mémoire, elles proposent au BAPE de recommander au gouvernement du Québec une «Feuille de route» en quatre étapes, étalées jusqu’en 2018, afin que le Québec puisse décider, en toute connaissance de cause, s’il souhaite ou non s’engager dans la voie de l’exploration et de l’exploitation du gaz de schiste et, si oui, à quel rythme et à quelles conditions.