Actualités
Selon l’AQLPA et Stratégies Énergétique (S.É.), la nomination de quatre membres temporaires dans une consultation superflue et sans pouvoir ne réglera en rien la controverse causée par les révélations sur les rencontres secrètes de l’Office national de l’énergie (ONÉ) avec des représentants du projet Énergie Est et la désorganisation complète de l’Office dans ce dossier.
Les commissaires récusés de l’ONÉ Monsieur Peter Watson (président) et Madame Lyne Mercier (vice-présidente) continuent malgré tout, et malgré leur récusation, de tenter d’interférer dans le dossier Énergie Est, dénoncent les groupes environnementaux AQLPA et Stratégies Énergies Énergétiques (S.É.).
Saint-Léon-de-Standon, 7 octobre 2016 – En date du 5 octobre, la secrétaire de la Convention cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC), Patricia Espinosa, a notifié que 74 Parties à la Convention totalisant 58,82% des émissions mondiales de gaz à effet de serre ont déposé leurs documents de ratification de l’Accord de Paris.
L'AQLPA) et Stratégies Énergétiques (S.É.) dénoncent la tentative du président de l'ONÉ Monsieur Peter Watson et de sa vice-présidente Madame Lyne Mercier de museler les futurs commissaires qui seront nommés à ce dossier. Selon Me Dominique Neuman, procureur de l'AQLPA et SÉ, « le président et la vice-présidente de l'ONÉ ne semblent pas comprendre ce que signifie leur propre récusation. Se récuser signifie cesser d'agir dans ce dossier. » Selon Monsieur André Bélisle, président de l'AQLPA, « les futurs commissaires chargés du dossier Énergie Est doivent disposer de l'entière liberté d'agir sur tous les aspects du dossier, incluant celui de lever le secret sur ces rencontres, sans être muselés par le président et la vice-présidente de l'Office. Le président et la vice-présidente ne peuvent pas empêcher que la vérité sorte. »
Devant la débandade de la crédibilité de l’Office national de l’énergie, l’AQLPA et Stratégies Énergétiques (S.É.) offrent une solution aux premiers ministres Trudeau et Couillard afin de rétablir la crédibilité de l’évaluation du projet Énergie Est.